Les repas servis dans les cantines devront comprendre au moins 50% de produits acquis selon des modalités prenant en compte le coût du cycle de vie du produit, de produits issus de l’agriculture biologique, de ceux bénéficiant de l’écolabel pêche, et encore ceux issus d’une exploitation ayant fait l’objet d’une certification environnementale.
La part fixée pour le bio est d’au moins 20% de la valeur totale.
Par un amendement du gouvernement, ces obligations ont été étendues aux établissements de restauration scolaire et universitaire, à ceux d’accueil des enfants de moins de six ans, et aux établissements de santé, sociaux et médico-sociaux, même privés.
Pour les organismes de restauration collective publique servant plus de 100 couverts par jour en moyenne sur l’année devront présenter annuellement un plan de diversification de protéines, en y incluant des alternatives à base de protéines végétales aux repas proposés.